Demain, l’intelligence artificielle, l’IA en abrégé, sera partout. Dans nos voitures qui roulent pour nous, dans les centrales électriques connectées omniprésentes qui contrôlent la fonctionnalité de nos maisons, dans les services, y compris les services publics de base qui ne seront plus disponibles que via Internet, et peut-être aussi dans nos vêtements. et … dans des fonctions qui contribuent à la prise de décision à tous les niveaux de la vie sociale et économique. Certains scientifiques très sérieux, comme l’éminent professeur Martin Rees de l’Université de Cambridge (Royaume-Uni), prédisent même que si nous découvrons des civilisations extraterrestres, elles seront plus susceptibles d’être artificielles que biologiques.

L’ère des « cyborgs » a déjà commencé ?

Face à un tel avenir plus ou moins immédiat, le danger potentiel qui guettera les IA plus avancées devient ipso facto une inquiétude, voire une inquiétude existentielle. Et ce malgré le fait que de nombreux experts tentent de nous expliquer que le terme même « intelligence artificielle » permet trop de déviations de l’imagination et que les technologies modernes sont encore à des années-lumière de pouvoir approcher l’esprit humain… à utiliser. Une nouvelle étude publiée cet été nous incite à nous pencher dès maintenant sur nos pratiques de conduite, qui peuvent présenter des inconvénients potentiellement dangereux.

Apocalypse trombone

Prairie

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