Noël avec la belle-famille : une psychologue partage des conseils pratiques pour minimiser le stress pendant les vacances - 1

Toute situation où vous sentez que vous ne pouvez pas faire face ou que vous n’êtes pas en contrôle est susceptible de vous stresser, alors planifiez à l’avance pour minimiser ces sentiments. Par exemple, planifiez des « évasions » pour vous-même pendant leur séjour, qu’il s’agisse d’une promenade avec un ami ou d’un voyage au magasin pour faire l’épicerie. Mentionner ces plans poliment au début de la visite aidera à prévenir toute gêne sur le moment.

De même, prévoyez des pauses privées à la maison, comme un jardinage ou même une longue douche. Ces brefs répits éviteront que vos sentiments ne vous submergent.

Essayez de cultiver des occasions de partager des moments positifs avec vos beaux-parents, que ce soit un voyage pour voir des lumières de Noël, emmener les enfants au parc, cuisiner ensemble, jouer à un jeu de société ou tout ce qui fait flotter leur bateau (et que vous pourriez profitez-en aussi).

Si vous n’êtes pas d’accord avec eux sur la politique, la religion, les vaccinations ou tout autre sujet, il pourrait être tentant, dans le feu de l’action, de confronter leurs points de vue. Mais voulez-vous vraiment emprunter cette voie ? Soyez pragmatique et honnête avec vous-même : si ces visites sont rares et/ou si vous avez peu de chances d’être d’accord, il vaut peut-être mieux éviter la confrontation. Rappelez-vous du bien qui peut découler de ces visites – comme le fait que vos enfants passent un temps précieux avec leurs grands-parents – plutôt que de vous laisser entraîner dans des batailles.

Enfin, si les esprits s’énervent, il existe des techniques pour se calmer. L’« étiquetage affectif » est bon : allez dans un endroit calme, comme les toilettes ou votre chambre, et mettez une étiquette précise sur l’émotion que vous ressentez et pourquoi. Cela réduira l’intensité émotionnelle. Ou essayez la « technique de la mouche sur le mur » : imaginez la scène du point de vue d’une mouche et prenez quelques respirations lentes et profondes. Cela créera une « distance psychologique », qui a également un effet calmant.

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