La Esports Integrity Commission a déclaré dans un communiqué publié aujourd’hui que Valve a imposé CS: ALLER Les sanctions d’interdiction majeure avaient « déformé l’effet escompté des sanctions ESIC de sorte qu’elles n’étaient plus proportionnées ».

Cette réclamation de l’ESIC fait suite à la décision de la Commission d’instaurer des changements dans la manière dont les concessions sont appliquées aux interdictions d’entraînement, découlant de celles qui ont été accordées en 2020 à la suite de l’enquête de l’ESIC sur le fameux bogue des spectateurs de l’entraînement.

À l’origine, l’ESIC attribuait des points d’inaptitude en fonction de la gravité du bogue de spectateur d’entraînement utilisé, qui était déterminé par le nombre de tours et de matchs au cours desquels le bogue était utilisé. Valve a alors pris la décision de « traduire les démérites ESIC en inéligibilité majeure », ce qui a entraîné l’interdiction des entraîneurs d’un à cinq ou de tous les majeurs.

Mais les entraîneurs Alessandro « Apoka » Marcucci et Nicholas « Guerri » Nogueira ont fait appel à l’ESIC sur la base de « l’effet composé » des interdictions de Valve Major puisque les deux entraîneurs ont déjà purgé leurs suspensions ESIC mais sont toujours interdits d’assister ou d’entraîner aux Majors. Les deux entraîneurs ont également vu leurs suspensions ESIC réduites après l’application de concessions puisqu’ils ont tous deux avoué leur implication et / ou aidé à l’enquête.

En réponse à ces appels, l’ESIC a ajusté les modalités d’application des concessions à une peine. Désormais, les concessions réduiront directement le nombre de démérites, plutôt que de simplement réduire la durée globale de la suspension une fois les démérites déjà appliqués. Parce que les concessions n’affectaient pas les démérites globaux à l’origine, la méthode de sanctions de Valve signifie qu’Apoka reste définitivement banni des Majors, tandis que Guerri est effectivement banni jusqu’en 2023. Si la formule ESIC ajustée avait été en place à l’origine, les deux entraîneurs auraient pu entraîner après PGL Stockholm suivant leurs concessions respectives.

L’ESIC « a transmis les résultats à Valve dans l’espoir que l’éditeur ajusterait ses sanctions en fonction du recalcul », mais la Commission a déclaré que la réponse initiale de Valve indiquait qu’elle ne procéderait pas à cet ajustement. L’ESIC a également demandé à Valve de reconsidérer sa position, mais Valve n’est pas membre de l’ESIC.