REVUE That 90s Show - la suite de That 70s Show où les nouveaux personnages semblent "empruntés" à Disney Channel - Royals Blue - 1

That 90s Show est la suite tant attendue par les fans de la célèbre série comique That 70s Show.

La bonne nouvelle, c’est que la première saison de That 90s Show est déjà apparue sur Netflix et peut être regardée dès maintenant. Cependant, comme vous l’avez deviné d’après le titre, il y a une mauvaise nouvelle, mais c’est évidemment subjectif.

That 90s Show, la suite de la série où les personnages Kitty et Red font tout le « show ».

That 90s Show est la suite que certains pourraient considérer comme la suite naturelle de That 70s Show, bien qu’en toute honnêteté, elle aurait pu s’en passer.

À mon avis, au moment où Netflix a décidé de retirer That 70s Show de sa programmation mais de miser sur son petit frère, il a fait une grosse erreur, et ce pour deux raisons. Premièrement, la jeune génération qui verra That 90s Show voudra certainement voir où tout a commencé. En d’autres termes, vous ne pouvez pas prendre une émission qui a marqué l’histoire et parier sur sa suite à l’avenir incertain.

Pour en revenir à That 90s Show, j’ai apprécié de revoir presque tous les personnages classiques, bien que fugitivement, mais d’autant plus que les scénaristes ont choisi de se concentrer davantage cette fois sur Kitty et Red qui, par coïncidence, n’ont pas perdu leur charme.

Et puisque nous parlons de personnages classiques mais passagers, évidemment Kelso, Jacky, Eric, Donna et Fez reviennent, mais le seul qui obtient plus de trois lignes est Fez.

Quant aux nouveaux venus, c’est-à-dire la nouvelle génération, j’aimerais pouvoir en dire du bien, mais j’ai beau essayer, la seule bonne chose à dire est que, parmi eux, les producteurs ont introduit le sympathique Ozzie, le « garçon différent du groupe » qui, bien que de manière différente, assume la mission que Fez avait dans la série originale.

Malheureusement, les nouveaux adolescents semblent sortis de Disney Channel, manquant totalement de l’unicité de leurs « parents ».